Il est difficile de parler de soi. Voici quelques éléments autobiographiques succincts.
J’ai l’âge de mes artères. Suis né en Algérie, à Oran dans un quartier nommé Gambetta falaises.
Entre 1971 et 1975, j’effectue plusieurs séjours en Europe et notamment en France où je m’installe et poursuis mes études.
À la mort de Boumediene je retourne en Algérie. Pas pour longtemps (3 ans), notamment dans le désert. Je reviens en France, après un nouveau séjour à Oran/région (7ans) où j’ai occupé des postes d’encadrement dans les ressources humaines et l’organisation (Sonatrach), mais où également j’ai intégré le parti Front des forces socialistes (FFS – Aït-Ahmed) et la ligue des droits de l’homme (d’abord la LADH/Oran).
Je suis titulaire d’un DEA de sociologie. L’objet du mémoire (Université Paris VIII/ Iresco) a porté sur la presse algérienne et l’immigration.
Longtemps, j’ai occupé des emplois alimentaires, je veux dire précaires. J’ai été journaliste (précisément pigiste) pour plusieurs magazines dont 01 Informatique (rubrique management). Puis j’ai enseigné dans des centres de formation près d’une vingtaine d’années, notamment dans le sud de la France, près de Marseille, où je réside depuis 2001. Enfin j’ai été éditeur durant cinq années.
J’ai animé (encore au présent) des ateliers d’écriture créative en France, en Algérie, au Canada…
Depuis la mort de mon père (déclencheur) – j’avais 14 ans 1/2 – je porte sur des carnets mes appréciations, commentaires, regard sur le monde qui m’entoure et le reste…
En 2001 paraît mon premier roman. D’autres ont suivi.
L’écriture, sous toutes ses formes, est – avec la lecture et les voyages – ce qui me revigore aujourd’hui et m’autorise à garder intact l’espoir.
Pour me contacter: ahmedhanifi@gmail.com
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